Animateur du Tour du Loir-et-Cher et de diverses autres épreuves, organisateur de la Route d’Éole, mais aussi trésorier général du comité Centre-Val de Loire de cyclisme et vice-président du comité départemental, Maxime Peteau, conseiller en assurances à l’agence Thélem de Blois, est assurément un jeune homme pressé et très occupé. Car, et il ne manque pas de le faire remarquer, père d’un petit Maé depuis un an, avec sa compagne Manon, le voilà désormais chargé de famille.
Autant dire qu’à l’orée de cette nouvelle saison cycliste, le carnet de bord de Maxime est particulièrement chargé, comportant deux rendez-vous soulignés en rouge : la Route d’Éole (Nationale juniors) le 25 mars puis le Tour de Loir-et-Cher du 11 au 15 avril. L’occasion de lui demander de nous dévoiler les grandes lignes de la Route d’Éole, « sa course » qu’il peaufine et a fait grandir depuis la première édition il y a neuf ans.
« L’édition 2018 devrait être la plus relevée depuis la création. Nous avons déjà fait le plein côté participation avec cent soixante partants et une bonne partie de l’élite junior française au départ », se félicite Maxime, non sans mettre l’accent sur « les quelque cent soixante bénévoles qui œuvreront pour le bon déroulement de l’épreuve, et le soutien des communes de Fougères-sur-Bièvre et de Feings qui seront les centres nerveux de la journée. »
Moins de trois semaines plus tard, il troquera la casquette de l’organisateur pour le costume de l’animateur au micro du TLC : « Dans un tout autre environnement, ce sera ma 5e année dans cette fonction et franchement j’ai hâte d’être le 11 avril avec une première étape prometteuse entre Blois et Fougères-sur-Bièvre. On devrait assister à une bien belle édition 2018 », pronostique Maxime Peteau.
Ces deux épreuves phares seront en quelque sorte le coup d’envoi de sa campagne d’animateur, une saison 2018 pour laquelle il a coché la Roue Tourangelle, la Coupe de France des cadets à Bouges, le Trophée Fenioux à Heugnes, sans oublier divers rendez-vous régionaux. « Sans doute avant de réduire la voilure l’an prochain, afin de consacrer davantage de temps à la vie familiale », nous confie-t-il.
Merci à Michel COLIN - La Nouvelle République